Il existe plusieurs méthode pour contrôler les accès des enfants aux réseaux, mais la méthode la plus « simple » est de couper le réseau internet sur les machines pouvant être utilisées par les enfants à certaines heures via le routeur.
Dans OpenWRT, il faut rajouter une règle au firewall et spécifier les équipements n’ayant pas besoin d’accès réseau.
Inconvénients de cette méthode : en cas de changements d’appareils, il ne faut pas oublier de modifier la règle et surtout si on a besoin (temporairement) de bypasser la règle, c’est pas facile de la modifier à la volée, mais ça reste faisable.
Mais il est possible de mettre en place des scripts on/off depuis l’extérieur, par exemple depuis jeedom:
Vu mon besoin actuel, je n’ai pas testé les scripts on/off. Par contre, le contrôle parental fonctionne bien et m’a été d’un grand secours au cours de 2020 !
Alors ce tutorial n’est pas pour tout le monde. Dans jeedom V4, il est possible de créer des widgets personnalisés assez facilement, et de réutiliser les icônes standard de jeedom.
Oui, mais on se retrouve confronté à un problème (de taille ahahah) assez vite. En effet, les icônes standard ne sont pas redimensionnables « facilement ».
Donc avec, par exemple un widget d’alarme on se retrouve avec ça
Un développeur web a fourni une méthode en passant par les CSS avancées, mais cela reste compliqué.
Plex est un super outils pour la gestion des vidéos, pour l’audio (surtout avec plexamp), pour la télé (les flux IPTV de free fonctionnent très bien via xTeve!). Pour les utilisateurs payants, c’est un produit qui vaut le coup et qui a peu de concurrence (emby…)
Et parmi tout ça. Plex permet également de gérer des photos.
Bon, là, faut être honnête, c’est pas terrible terrible. Les photos peuvent avoir des autotags à la « Google Photo » mais … rien de génial.
Rien que l’export d’une sélection de photos est à s’arracher les cheveux. D’ailleurs, ça tombe bien, c’est l’objectif de cet article 🙂
Attention, le plugin n’a plus de suivi car Plex a décidé d’arrêter le support des plugins… mais ils continuent pour l’instant de fonctionner.
Etape 2 : Dans votre compte plex, sélectionner les photos que vous voulez exporter et (c’est le plus important!!!) leur ajouter un tag spécial. Par exemple « mon_beau_voyage »
Etape 3 : Dans plex, il faut créer une playlist automatique à partir du tag « mon_beau_voyage »
Etape 4 : via le plugin WebTools exporter la playlist au format m3u
Il faut se rendre sur l’url du plugin webtools (par défaut : http://<nomserveur>:33400 ), puis dans la page « playlist ». Sélectionner la playlist automatique
Etape 5: extraire la liste des noms de fichiers du m3u
Chacun sa méthode, mais comme je suis linuxien via windows, j’utiliser mobaxterm, un petit script comme
Etape 6 : Recopier la liste des photos dans un dossier à part. J’insiste sur le recopier. On ne déplace pas ces photos pour rien 😉
Etape 7 : Faites ce que vous voulez des photos. Vous pouvez par exemple les transférer sur photobox.fr pour faire un magnifique album de vacances. Tadam!
Bon alors, c’était pas si compliqué que ça non ?
Oui bon, d’accord, c’est quand même bien infernal pour juste exporter 30 photos.
Et sinon, plex, c’est quand que tu décides à rajouter un fichu bouton exporter?
Récemment, dans le cadre familial nous avons eu un problème de « partage » de vidéos entre instagram et whatsapp.
C’est un peu crétin car il s’agit de deux services de facebook, mais quand on partage une vidéo instagram dans whatsapp, seuls les personnes ayant instagram de validé sur leurs comptes peuvent lire la vidéo… Donc certains utilisateurs pouvaient lire la vidéo, les autres non…
J’ai donc du identifier une méthode pour récupérer des flux instagram (vidéos) et ainsi pouvoir les partager aux utilisateurs n’ayant pas de compte.
Donc oui, il existe une méthode rapide, fiable et linuxienne pour récupérer les vidéos : cela s’appelle instalooter, il faut l’utiliser avec Python :
Les bornes unifi sont des super produits pour les pros. Mais pour ceux qui en veulent toujours plus et se retrouvent limité par le système (sic…) il est possible d’aller encore plus loin. En effet, ces bornes sont toutes basés sur une version du système d’exploitation OpenWRT. Donc forcément compatible avec le système.
On a la confirmation en se connectant en ssh à la borne.
Pour l’installation, j’ai du le décompresser via 7-Zip sur mon poste de travail et j’ai du ensuite recopier l’exécutable dans le dossier /sbin de la borne.
Ensuite : redémarrage, et tout fonctionne du premier coup.
L’inconvénient, c’est que si on a plusieurs routeurs, ou plusieurs bornes, on risque de se retrouver en réseau local avec plusieurs DHCP (bof) et plusieurs DNS (rebof)
Heureusement, on peut facilement configurer les routeurs OpenWRT en mode « Dump AP » (Ce qu’on peut traduire par « point d’accès déversoir »…)
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